CLUB des UTILISATEURS du JAO SYSTEME |
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LE RESEAU DE DEMONSTRATION (du 4ème congrès à Paris) |
Article paru dans le bulletin n° 1 d'octobre 1996 |
par Claude CARPET |
Cet article va vous décrire le réseau, depuis le dessin sur papier jusqu’au fonctionnement en passant par la simulation. Je vous propose de parcourir ce document avant d’essayer de le traduire sur votre ordinateur. |
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Sur papier, notre réseau se présente sous la forme suivante : Les petites lignes verticales indiquent l’endroit de coupure des 2 files de rails pour créer l’isolement électrique entre les cantons. Ce réseau permet la circulation de deux convois suivant le schéma : du 1 au 3 sens 0 du 3 au 1 sens 1 Tous les convois transitent par le canton n° 2 qui englobe les deux aiguillages et est considéré, comme les autres cantons, " canton long ". Nous avons 4 cantons en cul-de-sac (1, 3, 4, 5) et 1 canton de passage (2). |
Le canton long, le canton court, le canton de transit La notion de cantons longs (cantons dans lesquels le train peut s'arrêter en entier sans déborder sur d’autres cantons) ou de cantons courts (cantons de transit sur lesquels le convoi ne peut pas s’arrêter, par la présence d’un grill d’aiguillages par exemple) est appliquée dans le cas de ce réseau de démonstration. Ici, tous les cantons sont considérés comme "cantons longs" et les deux aiguillages sont contenus dans le canton n° 2. Le canton court ou canton de transit Est qualifié de " canton court " ou "canton de transit" une longueur de voie établie en canton et qui ne peut contenir un convoi sans le faire déborder sur un autre canton ou le laisser en arrêt sur un grill d’aiguillages. Le train s’arrêtera sur le premier canton long précédent ou sur le premier canton long qui suit le (ou les) cantons courts. Il peut y avoir une succession de cantons courts entre deux cantons longs. Le repérage de ces cantons de transits s’effectue dans la table des " cantons de transits ". Cette notion n’est utilisée que pour les réseaux comportant des grills d’aiguillages ou une courte portion de voie entre deux aiguillages. La table des cantons de transit dans le cas présent apparaît comme ceci dans le fichier "0 0". Le fichier est vide mais il existe. Fichier avec l’extension ‘.D08’ Table de gestion des cantons du réseau de démonstration Après avoir réalisé le dessin du réseau à l’écran (voir en fin d’article "la modélisation à l’écran"), la position des coupures de cantons, la numérotation automatique des cantons et des aiguillages, l’ordinateur génère la table de gestion des cantons appelée "règles déplaces". Cette table est en principe générée directement par le logiciel lors de l’instruction "numérotation automatique". Il est néanmoins intéressant de la vérifier, pour voir si l’ordinateur a bien effectué son travail, ensuite pour faire travailler notre esprit et notre logique personnelle. Ceci est encore plus vrai lorsqu’on a affaire à des réseaux plus complexes dans lesquels on opte pour un sens de circulation précis sur les doubles voies et les deux sens sur la voie unique "banalisée". |
1 |
2 |
3 |
4 |
5 |
6 |
7 |
Canton dans lequel se trouve le convoi |
Canton géré |
Canton de destination |
Paramètres du canton à gérer, |
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N° de l'aiguille |
Position de l'aiguille |
Modification de la vitesse |
Sens de circulation |
|||
001 |
001(2) |
002 |
000 |
000 |
000 |
000 |
001 |
002(2) |
003 |
001 |
001 |
000 |
000 |
001 |
002(2) |
003 |
002 |
001 |
000 |
000 |
001 |
002(4) |
005 |
001 |
001 |
000 |
000 |
001 |
002(4) |
005 |
002 |
000 |
000 |
000 |
002 |
003(3) |
003 |
000 |
000 |
000 |
000 |
002 |
005(5) |
005 |
000 |
000 |
000 |
000 |
002 |
001(13) |
001 |
000 |
000 |
000 |
001 |
002 |
004(15) |
004 |
000 |
000 |
000 |
001 |
003 |
003(9) |
002 |
000 |
000 |
000 |
001 |
003 |
002(10) |
001 |
002 |
001 |
000 |
001 |
003 |
002(10) |
001 |
001 |
001 |
000 |
001 |
003 |
002(14) |
004 |
002 |
001 |
000 |
001 |
003 |
002(14) |
004 |
001 |
000 |
000 |
001 |
004 |
002(6) |
003 |
001 |
000 |
000 |
000 |
004 |
002(6) |
003 |
002 |
001 |
000 |
000 |
004 |
002(7) |
005 |
001 |
000 |
000 |
000 |
004 |
002(7) |
005 |
002 |
000 |
000 |
000 |
004 |
004(8) |
008 |
000 |
000 |
000 |
000 |
005 |
005(11) |
002 |
000 |
000 |
000 |
001 |
005 |
002(12) |
001 |
002 |
000 |
000 |
001 |
005 |
002(12) |
001 |
001 |
001 |
000 |
001 |
005 |
002(16) |
004 |
002 |
000 |
000 |
001 |
005 |
002(16) |
004 |
001 |
000 |
000 |
001 |
Explication des lignes la colonne n° 2 indique le numéro du canton que l’on va traverser et qu’il faut gérer au moyen des lignes composées de nombres de 3 chiffres indiqués dans les colonnes 4 à 7. (1 ligne par instruction de position d’aiguillage et toujours 3 chiffres séparés par un espace. S’il n’y a pas d’aiguillage indiquer "000" en colonne 4 et 5). |
Fichier avec l’extension ".D01". Repérable si vous savez lire vos fichiers DOS "nom donné à votre réseau (en 8 lettres).D01" La colonne 1 donne le n0 du canton dans lequel le convoi se trouve (ou se trouvera) au moment où l’ordinateur va lire la ligne d’instructions logiques. La colonne 2 donne le n0 du canton dans lequel le convoi va transiter. C'est ce canton qu’il faut gérer par une ou plusieurs lignes d’instructions logiques. La colonne 3 donne le n0 de canton de destination après le canton géré. Tôt ou tard, le n0 figurant en colonne 3 se retrouvera toujours en colonne 2. Tous les cantons doivent être gérés à un moment ou à un autre. L’idéal est de gérer dans la logique arithmétique ascendante de la colonne 1. La colonne 4 donne le numéro de l’aiguillage contenu dans le canton de la colonne 2, aiguillage pour lequel on va donner la position en colonne 5. Il faut une ligne d’instructions par n0 d’aiguillage contenu dans le canton et autant de lignes qu’il y aura d’aiguillages à gérer dans ce canton. S’il n’y a pas d’aiguillage dans le canton à gérer, il faut le déterminer en une seule ligne en indiquant "000" en colonne 4 et en colonne 5. La colonne 6 modifie les vitesses propres au canton de la colonne 2. ‘000’ pas de changement, ‘090’ = diminution de 10% de la vitesse de tous les convois, ‘105’ = augmentation de la vitesse de 5% de tous les convois. La colonne 7 donne le sens de circulation ‘000’ = sens droite vers la gauche, ‘001’ = sens gauche vers la droite. Il ne peut y avoir d’autres paramètres dans cette colonne. (1) Gestion du cul-de-sac du canton n° 1 : on va du (fond du) 1 vers le 2 en passant par le 1. (2) Gestion de la position des 2 aiguillages contenus dans le canton n° 2 : on va du 1 vers le 3 en passant par le 2 [2 lignes car 2 aiguillages à gérer]. (3) Gestion du cul-de-sac du canton n° 3 : on va du 2 vers le (fond du) 3 en passant par le 3. (4) Gestion de la position des 2 aiguillages contenus dans le canton n° 2 : on va du 1 vers le 5 en passant par le 2 [2 lignes car 2 aiguillages à gérer]. (5) Gestion du cul-de-sac du canton n° 5 : on va du 2 vers le (fond du) 5 en passant par le 5. (6) Gestion de la position des 2 aiguillages contenus dans le canton n0 2 : on va de 4 vers le 3 en passant par le 2 [2 lignes car 2 aiguillages]. (7) Gestion de la position des 2 aiguillages contenus dans le canton n° 2 : on va du 4 vers le 5 en passant par le 2 [2 lignes car 2 aiguillages]. (8) Gestion du cul-de-sac du canton n° 4 : on va du (fond du) 4 vers le 2 en passant par le 4. (9) Gestion du cul de sac du canton n° 3 dans le sens inverse : on va du (fond du) 3 vers le 2 en passant par le 3. (10) Gestion de la position des 2 aiguillages contenus dans le canton n° 2, dans le sens inverse : on va de 3 vers le 1 en passant par le 2 [2 lignes car 2 aiguillages]. (11) Gestion du cul-de-sac du canton n° 5 dans le sens inverse : on va du (fond du) 5 vers le 2 en passant par le 5. (12) Gestion de la position des 2 aiguillages contenus dans le canton n° 2 dans le sens inverse : on va du 5 vers le 1 en passant par le 2 [2 lignes car 2 aiguillages à gérer]. (13) Gestion du cul-de-sac du canton n° 1 dans le sens inverse : on va de 2 vers le (fond du) 1 en passant par le 1. (14) Gestion de la position des 2 aiguillages contenus dans le canton n° 2 dans le sens inverse : on va du 3 vers le 4 en passant par le 2 [2 lignes car 2 aiguillages à gérer]. (15) Gestion du cul-de-sac du canton n0 4 dans le sens inverse : on vient du 2 vers le (fond du) 4 en passant par le 4. (16) Gestion de la position des 2 aiguillages contenus dans le canton n° 2 dans le sens inverse : on va du 5 vers le 4 en passant par le 2 [2 lignes car 2 aiguillages à gérer]. Rappel : tous les cantons doivent obligatoirement être gérés par au moins 1 ligne d’instructions. |
Les capteurs des cartes cantons Chaque carte canton, lorsque vous exploiterez le réseau en réel, possède 2 capteurs : un capteur d’entrée et un capteur de sortie. Dans une voie banalisée (à deux sens de circulation), le capteur d’entrée devient capteur de sortie dans l’autre sens de marche. Le fichier des capteurs devrait s’être fabriqué automatiquement, si vous avez choisi l’option "numérotation automatique"; suivant la présente description : |
N° du capteur d'entrée |
N° du capteur de sortie |
N° du canton |
Réservé logiciel |
001 |
129 |
001 |
000 |
002 |
130 |
002 |
000 |
003 |
131 |
003 |
000 |
004 |
132 |
004 |
000 |
005 |
133 |
005 |
000 |
Explication des lignes : La colonne n° 1 indique le numéro du capteur d’entrée du canton figurant en colonne 3. La colonne n° 2 indique le numéro du capteur de sortie = 128 + n° du capteur d’entrée. Comme il y a possibilité de 128 cantons dans JAO Système, le fichier des cantons de sortie ne peut commencer qu’à la position 129 (128+1). La colonne n° 3 indique le numéro du canton pour lequel on décrit les capteurs. La colonne n° 4 est une réserve pour le logiciel, toujours y inscrire "000". Fichier avec l’extension ".D02". Repérable si vous savez lire vos fichiers DOS : "nom donné à votre réseau (en 8 lettres).D02". |
Les alimentations des cartes cantons Normalement, et il vaut mieux suivre la logique intellectuelle, les cartes de canton sont toujours positionnées dans le sens arithmétique croissant : 1, 2, 3, 4, 5, etc. Néanmoins, dans le cas de très grands réseaux et suivant l’avancement de celui-ci, on peut modifier cet ordre et placer dans les connecteurs 3, la carte du canton 5. Pour cela, il faut modifier manuellement le fichier des alimentations. Fichier avec l’extension .D03. Repérable si vous savez lire vos fichiers DOS : "nom donné à votre réseau (en 8 lettres) .D03. Généré par l’ordinateur ou par vous-même, il donne : N0 du canton N0 alimentation 001 001 002 002 003 003 004 004 005 005 Si la carte du canton n° 5 avait été placée dans les connecteurs du 3, le tableau serait devenu : N0 du canton N0 alimentation
002 002 003 (*) 004 004 005 003 (*) Une ligne doit alors reprendre le canton n° 3 dans une autre alimentation de 5 à … |
Les itinéraires Si aucun itinéraire n’est créé, le fichier des itinéraires affiche "00". Par contre, nous pouvons créer des itinéraires, même pour ce type de réseau aussi simple. Fichier avec l’extension " .D06 ". Repérable si vous savez lire vos fichiers DOS : nom donné à votre réseau (en 8 lettres).D06. 001 (*) 001 001 002 003 003 0 0 (*) Cette ligne de l’itinéraire n° 1 (001) commence par la position au fond du canton 1, passage dans le 1, passage dans le 2, passage dans le 3, arrivée au fond du 3, "0 0" pour fin de ligne d’instructions. N’oublions pas la gestion des culs-de-sac déjà décrite dans le tableau des "règles déplace". L’itinéraire n0 peut être également décrit par : 001 001 001 002 003 003 002 004 004 0 0 Cette ligne, est complété par un retour immédiat depuis le fond du 3 vers le 4 en passant par le 2, le 4 et arrivée au fond du 4. Pour créer des arrêts dans l’itinéraire il faut insérer le paramètre "255" dans la ligne et un temps d’arrêt par exemple de 10 secondes ce qui donne : 001 001 001 002 003 003 255 010 003 003 002 004 004 0 0 L’instruction d’arrêt "255" est suivie par le temps d’arrêt en secondes "010" et reprend juste après la position du convoi "003" et sa direction "003 002 004 jusqu’au fond du 004". Ici il n’y a pas encore d’arrêt fixé dans le cul-de-sac du canton 4. Ajoutons alors 8 secondes à cet arrêt et notre itinéraire va donner : 001 001 001 002 003 003 255 010 003 003 002 004 004 255 008 004 004 002 0 0 L’ajout en finale (après 008) de la position actuelle, de son passage dans le 4 et dans le 2 va indiquer une suite au convoi. Pour un "bouclage" infini il faut écrire la ligne : 001 001 001 002 003 003 255 010 003 003 002 004 004 255 008 004 004 002 003 003 255 010 003 003 002 001 001 255 015 001 001 0 0 Les deux nombres "001" se retrouvent comme au début de l’itinéraire. La logique va le boucler et le convoi suivra le même chemin jusqu’à ce qu’une instruction manuelle le modifie. Dans un réseau comportant aussi peu de cantons, créer des itinéraires ne sert pas à grand chose. Si aucun itinéraire n ‘est affecté à un convoi, il marche en aléatoire : avance devant lui tant qu’il trouve un canton libre. Reculera s’il est dans un cul-de-sac. |
La simulation du fonctionnement du réseau sur écran La gestion des convois Avant de passer à la simulation, il est nécessaire de créer le fichier des convois. Il va décrire une locomotive seule, une locomotive avec un certain nombre de wagons ou de voitures. Notre fichier pourra contenir 99 convois différents. Paramètres à indiquer dans la grille proposée par le logiciel et qui apparaît sur l’écran : Les vitesses : les paramètres indiquent une vitesse ni réelle ni modélisée mais une progression paramétrable de 0 à 255. Les données ci-après sont des exemples. - minimum pour être reconnue par le système : 95 ; - ralenti, vitesse de ralenti du convoi dans un canton :140 ; - maximum, vitesse maximale réaliste en pleine voie : 200 ; - demandée, vitesse réaliste à adopter par le convoi : 190. Ne peut être inférieure à la vitesse de ralenti ni à la vitesse minimum ! L’occupation : - case de gauche, le canton dans lequel se trouve le convoi ; - case centrale, le canton suivant vers lequel le convoi doit se diriger (pour lui donner un sens de circulation) ; - case de droite, le canton d’après. L’allure : - case de gauche : inertie (temps de réponse) entre l’arrêt et/ou le ralenti et l’accélération (jamais 0 ! mais 1 ou 2 maximum). - case centrale : inertie entre la vitesse demandée et le ralenti (jamais 0 ! mais 1 ou 2 maximum). - case de droite : inertie entre le ralenti et l’arrêt (jamais 0 ! mais 1 ou 2 maximum). Plus le paramètre est petit, plus le temps de réponse est long. Les itinéraires : Le cadre "tout seul" : n0 d’itinéraire unique choisi ou en cours d’utilisation. Cadres de gauche à droite : 4 choix possibles suivant la position du convoi dans le réseau. Lorsqu’il rencontre un canton de cet itinéraire, le convoi suit ce dernier. Activation /désactivation du convoi : Dans ce cadre, écrire le n0 du convoi ou un court descriptif. Grand cadre : - "double clic" sur la première ligne vide et le contenu du long cadre rectangulaire s’inscrit dans le grand cadre, reconnaissant ainsi ce nouveau convoi. Il sera activé par le clic sur la case "activer/désactiver". Choix d’un convoi : - "double clic" sur la ligne concernée dans le grand cadre. Vérifier la reconnaissance par l’inscription du convoi dans le long cadre horizontal. Modifier éventuellement les paramètres et "sauvegarder" en cliquant sur cette case. Nous pourrons, dans les grands réseaux, augmenter notre fichier des convois jusqu’à 99 unités. La simulation proprement dite Elle s’effectue en cliquant sur "lancer". Taper sur la touche "esc’ pour éliminer le cadre vert. S’il n’y a pas de message d’erreur qui apparaît, mais bien le dessin du réseau avec le ou les convois qui circulent, alors vous avez bien suivi mes instructions. |
La modélisation du réseau à l'écran Le dessin proprement dit : Dans la version 3, l’ensemble du dessin peut se réaliser entièrement à la souris sans passer par les formes. Cliquer la case de départ de la ligne avec le bouton de gauche, cliquer la case de fin de ligne avec le bouton de droite, "doubleclic" sur le bouton de droite pour valider. La ligne est tracée. La position des cantons : Toujours avec la souris, se positionner au début du canton, "clic" sur le bouton de gauche maintenu enfoncé, parcourir le canton. Relâcher le bouton à l’endroit de la coupure. Pointer la ligne devenue "jaune" (marquage du canton), "double-clic" sur celle-ci, donner un n° au canton. Procéder de même pour les autres cantons et pour les aiguillages en respectant les commandes dans la bande supérieure et les menus déroulants. Insérer les 2 aiguillages dans le canton 2. La numérotation automatique, création des fichiers : Par le choix de cette commande, le logiciel posera la question de canton long ou canton court pour le n0 2. Répondre canton long. Lorsque les fichiers sont créés, revenir au paragraphe "table de gestion des cantons du réseau de démonstration " et bon amusement. Si vous êtes complètement perdus, relisez bien les explications qui précèdent I Si vous continuez à "être perdus", pas de panique, vous êtes "débutant" et ce n’est ni une honte ni une lacune ! Je vous fixe rendez-vous au prochain congrès du club des utilisateurs du concept de JAO Système ou dans le prochain bulletin qui ne saurait tarder. |
Claude CARPET, secrétaire du club, responsable de l’atelier "débutants". |
CLUB des UTILISATEURS du JAO SYSTEME |
LE RESEAU DE DEMONSTRATION (du 4ème congrès à Paris) |
Article paru dans le bulletin n° 1 d'octobre 1996 |